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Safran’Chir nous parle de frontières, de féminisme, et d’émancipation jusqu’au 27 novembre.

Un œil sur le monde  © Mattis Bouali

16.11.2022

JDA 1028

Les sculptures du Togolais Kokou Ferdinand Makouvia abordent « le métissage des cultures mina d’Afrique de l’Ouest et chrétienne d’Occident à travers la combinaison et la mise en tension des formes sculpturales des deux continents de l’artiste », indique Camille Bulenger, à la communication du Safran. Cette exposition (jusqu’au 15 décembre) est une belle introduction au temps fort Safran’Chir qui, chaque automne, s’interroge sur l’exil, les frontières, nos racines... Jusqu’au 27 novembre, émancipation, féminisme, histoires et immigration occupent la scène conventionnée du Triple Chaton.

 

Histoires de familles

Les histoires familiales explorent la mémoire et racontent les tragédies qui se sont nouées. Autant sous la forme du récit intime qu’a livré Myriam Saduis dans Final Cut, le 15 novembre, que d’un théâtre audiovisuel avec la compagnie Filigrane 111 et son Art de perdre, inspiré du roman d’Alice Zeniter qui retrace le parcours d’une famille algérienne (le 22, à 14h30 et 19h30). Autres réflexions, celle de Lina Soualem dans son documentaire Leur Algérie (le 23, à 19h), ou celle de Rachid Bouali avec Braslavie Bye Bye (photo) qui questionne, en conte et en musique, les notions d’une Europe disparate et de ses frontières (le 25, à 14h30 et 19h30). Safran’Chir examine le monde pour mieux comprendre nos vies.

Ingrid Lemaire

 

Safran’Chir

Jusqu’au 27 novembre, au Safran

Programme complet sur amiens.fr/Le-Safran