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Clap de fin pour le Festiv’art qui annonce 
sa treizième et ultime édition du 23 au 30 octobre.

Dernière danse  © Aleksandra Wojcinska
Eivør, l’une des têtes d’affiche du festival.
© Aleksandra Wojcinska

20.10.2021

JDA 993

Au départ, une bande de copains en colocation. En 2006, ils se lancent un pari et créent leur festival qui a depuis programmé près d’une centaine de groupes et attiré plus de 24 000 personnes. Preuve de son succès, il fut classé parmi les dix meilleurs de moins de 5 000 spectateurs au Festival Awards en 2017, à Paris. « Ce délire entre potes érigeait un pont entre les structures comme La Lune des pirates, le cloître Dewaillly et le Cirque Jules-Verne, raconte Arnaud Broucke, l’un des fondateurs. Le Festiv’Art est arrivé au sommet de nos ambitions. On veut partir au bon moment sans risquer l’édition de trop. Les années ont passé et d’autres envies sont nées. »

 

INTERNATIONAL ET INTIMISTE

Du 23 au 30 octobre, cette dernière édition « sera intimiste pour répondre aux exigences gouvernementales mais toujours entre découvertes et performances, à l’image du festoche ». Une programmation à dimension locale avec Whatever NuFunk et Lagoon (le 29 octobre) mais aussi nationale avec Anaïs (le 30 octobre) et Ellen Birath, alias Little Ellen, la plus parisienne des Suédoises (le 24 octobre). L’assouplissement du protocole sanitaire permet même de retrouver des artistes internationaux. L’attendue Danoise Eivør –, qui a composé la BO de la serie The Last Kingdom – (le 26 octobre), et l’Italien Porcapizza (le 23 octobre). Ce musicien-performeur « nous offre sa seule date française. Pour écouter l’essence même du blues, c’est inratable ». Et clôturer l’aventure Festiv’Art sur de bonnes notes.

//Ingrid Lemaire

Festiv’Art, du 23 au 30 octobre, à la salle Jules-Verne 
(72, rue des Jacobins)
 et La Lune des pirates (17, quai Bélu)

Programme complet sur myfestivart.com