Centre de ressources
Vous aimez le théâtre contemporain ? Vous souhaitez découvrir l’écriture dramatique contemporaine et ses auteurs ? Vous recherchez des conseils de lectures ? Les textes des spectacles programmés cette saison ? Vous êtes à la recherche de nouvelles pièces de théâtre pour votre atelier/votre compagnie/votre classe ?
Vous êtes simple lecteur, étudiant, enseignant, comédien, metteur en scène, amateur ou professionnel, curieux ou passionné, participant à nos ateliers…. soyez le bienvenu pour découvrir la richesse de notre fond spécialisé en théâtre contemporain et gardez toujours en tête que le théâtre se lit aussi !
Le centre de documentation, spécialisé en théâtre contemporain, est un lieu de recherche et de lecture, de formation et de conseil. Avec un fonds de près de quatre mille cinq cents pièces de théâtre contemporain, il offre une collection riche et variée sans cesse enrichie de nouvelles acquisitions et des dernières parutions. Vous pouvez y trouver les textes de plus de cinq cents auteurs, des textes francophones ou de nombreuses traductions, ainsi qu’une collection de textes inédits tapuscrits, sélectionnés par des comités de lecture tels que celui d’ArtCena et des Ecrivains Associés du Théâtre. Ce fond spécialisé est complété par des ouvrages généraux, des guides sur l’histoire et les esthétiques du théâtre, l’éducation artistique et culturelle et le spectacle vivant, et des revues spécialisées.
Conditions de consultation sur place, et d’emprunt des collections
Intégrer au réseau des bibliothèques d’Amiens Métropole, vous avez la possibilité d’interroger la collection en ligne sur le site : http://bibliotheques.amiens.fr
Renseignements et salle de lecture : 24 rue St Leu - 80 000 Amiens
Horaires d’ouverture : mercredi et jeudi de 13h à 17h
Lundi, mardi et vendredi : uniquement sur rendez-vous
Modalités d'inscription : L'abonnement est enregistré sur votre carte PASS.
La Carte PASS peut être délivrée dans de nombreuses structures d'Amiens Métropole (Maison du Théâtre, Coliseum, Bibliothèques, Musée, Safran-scène conventionnée,...) sur présentation d'un justificatif de domicile et d'une pièce d'identité.
L'abonnement annuel au Centre de documentation de la Maison du Théâtre est gratuit pour tous.
LES AUTEURS DE LA SAISON 2022-2023
Laurent Contamin
Formé dans les années 90 au Studio 34, dans les conservatoires parisiens et au Théâtre National de Chaillot, Laurent Contamin travaille comme auteur, metteur en scène et comédien. Une trentaine de ses pièces tourne, depuis 1995, en Europe, au Québec, en Afrique, dans des mises en scène de Claire Frétel (Devenir le ciel), Grégoire Callies (Fasse le ciel que nous devenions des enfants, La petite Odyssée), Urszula Mikos (Hérodiade), Olivier David (Dédicace, Noces de papier, Lisolo), Sabine Pernette (Tobie), Lorena Felei (Léon l’Enfant Noël, En attendant Dersou), Didier Perrier (La petite Marchande d'Histoires vraies), Thomas Ress (Un Verger pour Mémoire, Pelote), Laure Gouget (Le Jardin), Patrick Simon (Tête de Linotte), Bénédicte Guichardon (Le Parfum d'Edmond), Marja Nykanen (Cantique aquatique)… Plus d'un millier de représentations à ce jour. Certaines de ces pièces sont traduites en allemand ou en espagnol. Ses textes sont publiés aux éditions Théâtrales, chez Lansman, à l'Ecole des Loisirs…
Entre 2002 et 2007, il est assistant à la direction artistique et artiste associé du Centre Dramatique National d’Alsace à Strasbourg. Durant cette période, il écrit principalement pour la marionnette, le théâtre d'objets, le jeune public, le théâtre hors les murs, sensible à des propositions dramaturgiques qui trouvent leur impulsion au cœur même du dialogue entre les différents langages scéniques. Depuis, il écrit fréquemment dans le cadre de résidences d’écriture qui associent création et action culturelle territoriale, en lien avec des établissements scolaires, des bibliothèques, des théâtres...

Valérian Guillaume
Valérian Guillaume est acteur, metteur en scène et auteur. Il écrit des pièces qui ont pour point commun d’appréhender les phénomènes contemporains comme matière poétique.
Depuis 2014, il dirige la compagnie Désirades au sein de laquelle il met en scène ses écrits.
Lauréat en 2018 du programme doctoral SACRe (Sciences, Arts, Création, Recherche) proposé par le Conservatoire national supérieur d’art dramatique et Paris Sciences Lettres , sa recherche-création consiste à explorer et à analyser les potentialités des graphies en train de se faire sur la scène.
En tant qu’interprète, il joue plusieurs spectacles sous la direction de Bernard Sobel, Jean Bellorini, Rachid Ouramdane, de Mathilde Monnier et de François Olislaeger. Récemment il a collaboré à la dramaturgie du spectacle Les Oubliés de Julie Bertin et de Jade Herbulot à la Comédie Française.
Il écrit aussi pour la bande-dessinée (prix Jeunes Talents 2018 du Festival International d’Angoulême avec le dessinateur Thibault Le Page) et pour la musique (paroles de chanson et écriture d’un livret d’opéra contemporain à La Chartreuse pour TOTEM(S) lors du Festival d’Avignon 2020). Après trois créations Désirades (prix de la meilleure écriture théâtrale dans le cadre du festival Rideau Rouge organisé à Théâtre Ouvert à Paris), Eclipses - et c’était quand même très bon (Encouragements de la Commission nationale d’Aide à la création de textes dramatiques – Artcena CNT.) et La Course crée à la Scène Nationale d'Annecy en 2019; il élabore son quatrième spectacle, Diaporamoi. Son premier roman Nul si découvert est paru en Janvier 2020 aux éditions de L’Olivier.

Nicolas Petisoff
Il se forme d’abord au Conservatoire National de Région du Limousin puis à l’Académie Théâtrale de l’Union à Limoges. Il en sort en 1999 et exerce son métier de comédien et d’assistant à la mise en scène au sein de plusieurs compagnies. Il a l’occasion de travailler avec Vincent Macaigne dans son court métrage Dom Juan. Il participe à un working progress d’Alain Platel. Il joue entre autres sous les directions de David Gauchard, et Hala Ghosn.
En 2019, avec la complicité de Denis Malard, il crée la 114 Cie. Il s’engage alors dans l’écriture et la mise en scène d’un triptyque : « La trilogie des monstres » composée de Parpaing (2019), Comment avouer son amour quand on ne sait pas le mot pour le dire ? (2023) et Putain! (2025). Il crée également en 2020 le spectacle Dé-covidé.e, une forme performative inaugurant Le laboratoire des écritures du réel, dont le projet est de monter en peu de temps des pièces brèves sur des sujets d’actualités. À l’avenir, ce laboratoire pourra prendre différentes formes (commande, atelier d’écritures…).
Depuis 2020, il est engagé comme dramaturge et regard extérieur sur des projets de danse contemporaine et comme metteur en scène invité sur les projets d’autres compagnies. Également DJ selector, la musique a toujours une place de choix dans son langage théâtral.

Louise Wailly
Louise Wailly a écrit et mis en scène le spectacle L’Apocalypse selon Günther. L’idée de créer ce spectacle a germé après la lecture de certaines œuvres du philosophe Günther Anders et notamment de L’Obsolescence de l’Homme. Günther est connu pour être un pionnier du mouvement antinucléaire. Il part du principe que l’on ne peut pas penser l’humain de la même façon avant et après Hiroshima. Cet évènement a augmenté la cruauté de l’Homme puisque grâce à cette arme, on peut exterminer des milliers de personnes simplement en appuyant sur un bouton. Sa pensée philosophique a tellement inspiré Louise Wailly qu’elle a décidé d’en faire un spectacle. Pour cela, elle a d’abord commencé par faire un travail de recherches avec un journaliste spécialiste de la question du nucléaire en France puis directement à Hiroshima et Nagasaki. Louise a découvert un pan de la seconde guerre mondiale oublié, voire effacé et si elle ne veut aucunement minimiser les horreurs des nazis, elle veut aussi montrer celles des autres camps. Pour parler de ce sujet dramatique, elle a décidé d’utiliser le genre du théâtre bouffon. En plus d’être tragiquement drôle, il a cette capacité de faire miroir et d’être critique sur la société. La figure du bouffon est donc à la fois politique, poétique, philosophique et comique. Si ce spectacle n’est pas uniquement adressé aux adolescents, il a quand même été créé de façon à ce qu’il puisse leur parler. Pour elle, c’est entre seize et dixneuf ans que se créent les fondements politiques, que l’on commence à penser quelque chose du monde, à regarder à l’extérieur de sa famille et de soi-même.

Mona El Yafi
Après des études de philosophie – Master 2 sur la question de la temporalité dans la mise en scène contemporaine et agrégation – Mona se forme parallèlement à la scène par de nombreux stages.
Elle participe en 2013 à l’écriture de Bad little bubble B mis en scène par Laurent Bazin qui reçoit le prix du Jury du Festival Impatience, et écrit en 2014 sa première pièce Inextinguible qui entame un cycle sur la question du désir. De 2014 à 2017 elle crée les performances Sept péchés capitaux – Gourmandise, Orgueil, Paresse et en 2017, elle écrit Desirium Tremens – pièce sur le désir de métier écrite à partir d’une vaste enquête de terrain. Puis en 2019 elle écrit Aveux, explorant cette fois le désir de parole dans un contexte judiciaire. Elle est pour cette pièce la première lauréate du Prix Bourse Jean Guerrin. En 2020, elle écrit avec Céline Clergé Je m’appelle Alice ou La parole des petites filles. Toutes ses pièces sont mises en scènes par Ayouba Ali avec lequel elle dirige la compagnie Diptyque Théâtre. Elle y est également interprète.
En 2019 elle signe également Hernani on Air, adaptation d’Hernani de Victor Hugo sur une commande d’Audrey Bonnefoy et devient dramaturge pour les nouvelles créations du Fouad Boussouf (chorégraphe et directeur du CCN du Havre) Oüm et Yës. En 2020, elle co-coécrit avec Vincent Reverte le podcast Entre chiennes et loups, sur les inégalités de genre, et co-fonde le Collectif Créature, collectif d’autrices interrogeant la place des figures féminines dans le théâtre contemporain et œuvrant à leur visibilité.
Elle est, depuis 2017 artiste associée à La Manekine, scène intermédiaire des Hauts-de-France et depuis la saison 2020-2021, Autrice en infusion à la Faïencerie, scène conventionnée de Creil.
Elle anime depuis 2008 des stages et ateliers théâtre en milieu scolaire, notamment auprès d’élèves en décrochage. Son travail avec ces élèves a donné lieu au documentaire de Marie-Violaine Brincard et Olivier Dury Si j’existe je ne suis pas un autre, sélectionné en 2014 au Festival du Réel. Elle enseigne depuis 2018 l’art dramatique à des étudiants en Master à Paris 1- Sorbonne.

Magali Mougel
Magali Mougel est née en 1982. Elle est originaire des Vosges, région dans laquelle elle vit actuellement. Après des études à l’Ensatt à Lyon, Magali Mougel enseigne l’Histoire du théâtre à l’Université de Strasbourg et est rédactrice pour le Théâtre national de Strasbourg. En 2015, elle choisit de se consacrer pleinement à l’écriture de textes dramatiques aussi bien pour la jeunesse que pour les publics adultes.
Elle a écrit, entre autres, Guérillères ordinaires (Ed. Espaces 34) mis en scène par Anne Bisang au POCHE/GVE à Genève en 2015 ; Elle pas Princesse, Lui pas Héros (Ed. Actes Sud/Heyoka), mis en scène par Johanny Bert au CDN de Sartrouville en 2016 et à New York en 2019 (traduction de Chris Campbell) ; Suzy Storck (Éd. Espaces 34) mis en scène par Jean Pierre Baro au Gate Theatre à Londres (traduction de Chris Campbell), et par Simon Delétang au Théâtre du Peuple à Bussang en 2019 ; Penthy sur la bande (Ed. Espaces 34) mis en scène par Renzo Martinelli en 2019 au Théâtre I à Milan (traduction de Silvia Accardi).
En 2019/2020, son texte SHELL SHOCK lauréat de l’Aide à la création ARTCENA est édité chez Espaces 34 et mis en scène par Hélène Gay (Compagnie Loba) et elle crée avec Johanny Bert une forme jeune public à mi-chemin entre danse et théâtre intitulée FRISSONS pour le festival Odyssées en Yvelines (texte à paraître chez Espaces 34).

Nicolas Girard-Michelotti
Après deux années de classes préparatoires littéraires et une année de licence Lettres et Cinéma à l’université Paris Diderot, il écrit sa première pièce et y tient le rôle du narrateur.
En 2016, il rejoint pour deux ans le Conservatoire du 8ème arrondissement de Paris — achève en parallèle un master de « Lettres » portant sur les dramaturgies contemporaines —, puis entre à la Classe Libre du Cours Florent (promotion 38).
Entre 2015 et 2017, il écrit trois pièces courtes : La Pomme (2015), Pavillon E (2016), Disparition, sur la plage (2017), et les monte consécutivement au théâtre du Rond-Point dans le cadre du concours « Conservatoires en scène », alors parrainé par Pierre Notte.
En 2018, il intègre l’École du Nord en parcours auteur, où il écrit quatre pièces. Les textes sont accompagnés par Christophe Pellet, Brigitte Smaja, François Berreur et Claudine Galea. À l’école, il fait également la rencontre des artistes Sonia Chiambretto, Alain Françon, Marc-Antoine Cyr, Igor Mendjisky, Marie-Christine Soma, Cyril Teste, Rémi De Vos, ou encore Pauline Bayle.
Entre 2019 et 2021 :
Pavillon A est mis en lecture par Nelson-Rafaell Madel à l’occasion du festival d’Avignon au Conservatoire d’Avignon (à l’invitation de la SACD), au Théâtre 11 Gilgamesh et au Théâtre du Train Bleu, puis fait l’objet d’une résidence au Théâtre 13. Le texte a également été sélectionné par le comité de lecture du CDN d’Orléans/Centre-Val de Loire.
La pièce ici — prix « De l’encre sur le feu » 2016 —, est sélectionnée par le comité de lecture du CDN de Colmar. À ce titre, elle est créée par Jean Massé (TNS), en partenariat avec les élèves du Conservatoire de Colmar, et jouée, dans une forme itinérante, dans différents lieux de la ville et de Strasbourg.
Il obtient le prix de la Fondation Mainou pour Point d’Orgue ; le prix du concours d’écriture de théâtre immersif organisé par la A2R – Antre de Rêves pour Épilogues, et Au ciment la brume est sélectionnée par les E.A.T à l’issue de l’appel à texte tout public.
Cosmonaute, lauréate du Comité de lecture Jeunesse des E.A.T, est publiée à l’automne 2021 aux éditions l’École des Loisirs.

Astrid Bayiha
Astrid Bayiha est comédienne, autrice, metteuse en scène et chanteuse.
Juste après l’obtention de sa Licence d’LLCE Anglais à la Sorbonne Nouvelle de Paris en 2007, elle entre au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris.
Elle y sera formée entre autres par Andrzej Seweryn, Guillaume Gallienne, Mario Gonzalez, Michel Fau, Yves Boisset et Sandy Ouvrier...
À sa sortie du Conservatoire en 2010, elle travaille avec le performer new-yorkais Eric Wallach, et joue le rôle-titre des Mamelles de Tirésias d’Apollinaire adapté en anglais américain, au Théâtre de la Reine Blanche.
C’est le début de nombreuses collaborations et sur différentes scènes (Théâtre Nationaux, CDN, Scène Nationales...) avec des metteurs.ses en scènes tels que Catherine Riboli, Irène Bonnaud, Gerty Dambury, Eva Doumbia, Paul Desveaux, Bob Wilson, Mounya Boudiaf, Jacques Descorde, Hassane Kassi Kouyaté, Françoise Dô...
En 2017, elle crée la Compagnie HÜRICÁNE et met en scène sa première pièce, MAMIWATA. Le spectacle sera joué au Théâtre Gérard Philipe - CDN de Saint-Denis, au Théâtre de l’Opprimé à Paris, à Tropiques Atrium La Scène Nationale de la Martinique puis à La Criée Théâtre National de Marseille durant la saison 2018/2019.
Durant la saison 2019/2020, elle jouera entre autres dans deux productions du Théâtre de la Ville à Paris :
OTHELLO mis en scène par Arnaud Churin, et JUNGLE BOOK mis en scène par Bob Wilson, qui l’avait déjà distribuée en 2015, dans sa mise en scène de LES NÈGRES de Jean Genêt.
Elle publie en 2020 son texte Je suis bizarre aux éditions Koïné.

Les filles de Simone
Claire Fretel, Tiphaine Gentilleau et Chloé Olivères - ont co-fondé en 2015 la compagnie Les Filles de Simone et en sont les artistes associées.
Travaillées par des préoccupations féministes, sensibles à toutes les questions d’égalité femmes/hommes, elles font dialoguer sur scène leur vécu intime et la dimension politique de ces réflexions sociétales. Elles créent des auto-fictions documentées, écrites au plateau et collectivement. Les sujets des spectacles s’imposent avant tout par leur nécessité, leurs expériences et l’avancée de leurs réflexions.
Le processus d’écriture, qui s’affirme et s’affine au fur et à mesure des spectacles, se fait en plusieurs étapes et s'inscrit dans la durée. Durant la première phase, Les Filles de Simone récoltent de la matière à la fois théorique (temps de recherche, documentation, lectures et débats sur le sujet) et personnelle (temps de partage d’expériences vécues : groupes de parole ou récolte de témoignages en fonction des projets). Ce matériau est ensuite éprouvé au plateau : c’est la deuxième phase, celle des improvisations où sont retenues les situations théâtrales les plus justes et les plus percutantes pour évoquer les problématiques soulevées, dans leur double dimension : ultra-intime et systémique. Vient ensuite le temps de la construction dramaturgique (alvéolaire et rythmée par le téléscopage de scènes de nature très différentes) et de la réécriture des scènes improvisées.
En faisant théâtre d’expériences intimes très largement partagées, nous œuvrons à libérer la parole des spectateurs.ices sur des sujets souvent tabou.

Melissa Irma
Mélissa Irma est autrice, comédienne et metteuse en scène, diplômée de l’ESCA d’Asnières. Elle est membre de la compagnie A Point, avec laquelle elle joue Chère Maman je n’ai toujours pas trouvé de copine (textes de Falk Richter), Le Réserviste de Thomas Depryck.
Elle joue sous la direction d’Hervé Van der Meulen (Dialogues des Carmélites de Georges Bernanos), de Paul Desveaux (Platonov de Tchekhov), de Nathalie Fillion (Festival Jamais Lu, Théâtre Ouvert) et de Zelda Soussan et Aurélien Leforestier au sein du LUIT (Marché Noir, spectacle en espace public). Elle tourne sous la direction d’Igor Mendjinsky (La lune veille sur eux) et de Janloup Bernard (Les Ardents). Elle est également assistante à la mise en scène de l'autrice et metteuse en scène Nathalie Fillion sur Spirit.
lle crée le Collectif GWEN avec d'autres artistes issus de sa promotion de l'ESCA en 2019. Elle y officie en tant que comédienne (Comment retenir sa respiration de Zinnie Harris, mise en scène de Thomas Harel), autrice et metteuse en scène (Des Filles Sages, en co-écriture et co-mise en scène avec Lucie Brandsma).
Elle co-écrit avec Zacharie Lorent Archipel et Sodium (création 2022) pour la compagnie A. Point (mise en scène d'Alice Gozlan).
